Samedi, le 14 avril 2012, 13h00
Rassemblement public sur la Colline du Parlement à Ottawa
pour commémorer l’écrasement tragique de l’avion
présidentiel polonais à Smolensk le 10 avril 2010



POLSKI                     ENGLISH




Rassemblement public à l’occasion du deuxième anniversaire
de la tragédie survenue à Smolensk en 2010

Le 14 avril 2012 à 13 h sur la colline du Parlement à Ottawa, Canada

 

Le 10 avril 2010, la Pologne a perdu ses dirigeants dans un accident d’avion qui a eu lieu à Smolensk, en Russie. Parmi les 96 victimes il y avait le président polonais, la première dame de la Pologne, plusieurs généraux des Forces armées polonaises et de l’OTAN, des députés, des hauts dignitaires, des membres du clergé, des opposants anticommunistes bien connus et des familles des victimes du crime commis en 1940 à Katyn. L’écrasement de l’avion à Smolensk a changé l’équilibre du pouvoir en Pologne et s’est soldé par un assujettissement graduel de la Pologne à l’influence russe.

 

CHER PEUPLE DU Canada ET NOTRE GOUVERNEMENT CANADIEN!  

NOUS, LES CANADIENS D’ORIGINE POLONAISE SOLLICITONS VOTRE APPUI POUR DEMANDER

UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE ÉQUITABLE ET IMPARTIALE

SUR L’ACCIDENT DE L’AVION PRÉSIDENTIEL À SMOLENSK!

 

Les enquêtes sur l’accident survenu à Smolensk menées par les gouvernements russe et polonais en violation flagrante des normes internationales ont mené à la suppression et à la destruction des principaux éléments de preuve :


  •   Les Russes détruisaient ouvertement l’épave de l’avion et le lieu de son écrasement. On peut voir les images filmées deux jours après l’accident : https://www.youtube.com/watch?v=nCjSOO-kmyA 


  •   Les Russes refusent toujours de rendre l’épave de l’avion, les boîtes noires et le principal matériel électronique contenant des renseignements classifiés qui sont la propriété de la Pologne et de l’OTAN. 


  •   On n’a pas fourni de documentation détaillée relative aux opérations de sauvetage. La façon dont les corps avaient été traités a porté atteinte à la dignité des victimes et a traumatisé leurs familles. L’examen médical des corps a été mené de manière inappropriée, et les rapports des résultats étaient largement inexacts et incomplets.  


  •   Les Russes ont manipulé et truqué les principaux éléments de preuve : des pièces de l’avion ont été cachées, les débris ont été déplacés sur le lieu de l’accident, les témoignages ont été altérés, le contenu des enregistrements des boîtes noires et les données recueillies grâce au système d'avertissement et d'alarme d'impact (TAWS) ont été modifiées. 


  •   La cause de l’accident a été déterminée d’avance. L’erreur du pilote a été annoncée en même temps que la nouvelle sur l’écrasement de l’avion. Les rapports officiels ont simplement confirmé la conclusion prédéterminée qui sert les intérêts de la Russie et du gouvernement polonais qui lui est entièrement soumis.   


  •   Le scénario de l’erreur du pilote est conforme aux intérêts des fonctionnaires du gouvernement polonais responsables de la sécurité de ce vol gouvernemental. Les mêmes personnes, qui se trouvaient en situation de conflit d’intérêts, ont surveillé l’enquête sur l’écrasement de l’avion à Smolensk. 

 

 

Une enquête menée par la Commission parlementaire polonaise après la publication des rapports russe et polonais a permis de prouver hors de tout doute raisonnable que les conclusions de ces rapports officiels étaient faussés et non valables :


  •   Le gouvernement polonais dirigé par Donald Tusk, agissant à l'encontre des intérêts de la Pologne, a confié l’enquête à la Russie et a rejeté les offres d’aide de la part de l’OTAN, de l’Union européenne et d’autres pays. 


  •   L’écrasement de l’avion n’est pas attribuable à l’erreur du pilote. Les pilotes ont correctement planifié et effectué une approche d’atterrissage et la procédure de remise des gaz pour poursuivre le vol jusqu’à un aéroport de dégagement. Toutefois, pour les raisons toujours inconnues, au lieu de s’élever, l’avion a connu une descente rapide. 


  •   La transcription des conversations enregistrées dans le poste de pilotage ne révèle aucune pression psychologique exercée sur les pilotes par leur supérieurs qui suggérerait que ces derniers voulaient atterrir « à tout prix ». 


  •   Le prétendu choc avec un bouleau n’a pas eu lieu, et ce dernier n’a pas arraché une aile de l'avion. L’aéronef volait à la hauteur de 14 mètres au-dessus des arbres à ce moment-là. 


  •   L’analyse des données du système d'avertissement et d'alarme d'impact (TAWS) et du système de gestion de vol, menée par des experts, de même que des photos satellitaires et des centaines de photographies de l’épave appuient l’hypothèse selon laquelle l’accident a été causé par une explosion à bord de l’avion. Cette dernière a eu lieu en vol, détruisant complètement 40 % de la masse de l’appareil et entraînant la fragmentation des corps des passagers transformés en des morceaux méconnaissables. 

 

NOUS RÉCLAMONS UNE ENQUÊTE IMPARTIALE


SUR L’ÉCRASEMENT DE L’AVION PRÉSIDENTIEL À SMOLENSK


QUI SERAIT MENÉE PAR UNE ÉQUIPE INTERNATIONALE!


JOIGNEZ-VOUS À NOUS POUR APPUYER CETTE JUSTE CAUSE!




  • Plus d'informations... http://www.solidarnosc2010.com/ottawa

    Des informations plus détaillées sont disponibles par courriel à l’adresse info@solidarnosc2010.com